- EAN13
- 9782746524927
- Éditeur
- Editions Le Pommier
- Date de publication
- 02/03/2022
- Collection
- Hors collection
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Les droits de la Nature
Vers un nouveau paradigme de protection du vivant
Camille de Toledo, Notre affaire à tous, Juan Carlos Henao
Editions Le Pommier
Hors collection
Autre version disponible
Dérèglement climatique, effondrement de la biodiversité, maltraitance animale,
pollutions… De plus en plus de voix s’élèvent pour demander la reconnaissance
des droits de la Nature, pour mieux protéger le vivant – les forêts, les
rivières ou encore les glaciers – et lui permettre de se défendre en justice.
Pourquoi la personnalité juridique ne serait-elle réservée qu’aux humains et
aux entreprises ? Sans attendre la révolution qu’une telle reconnaissance
suppose, des juges, dans de nombreux pays, n’hésitent déjà pas à invoquer
l’urgence à changer de paradigme, à acter un contrat naturel. Les juristes de
Notre Affaire à Tous dressent ici un état des lieux de la question, au moment
où les droits de la Nature s’affirment de plus en plus au sein de la société
civile, et lèvent les doutes que cette perspective pourrait inspirer au regard
des mécanismes offerts par le droit de l’environnement et de la démocratie
environnementale. Car une évidence s’impose : le passage de
l’anthropocentrisme à l’écocentrisme ne pourra se faire en dehors du droit.
pollutions… De plus en plus de voix s’élèvent pour demander la reconnaissance
des droits de la Nature, pour mieux protéger le vivant – les forêts, les
rivières ou encore les glaciers – et lui permettre de se défendre en justice.
Pourquoi la personnalité juridique ne serait-elle réservée qu’aux humains et
aux entreprises ? Sans attendre la révolution qu’une telle reconnaissance
suppose, des juges, dans de nombreux pays, n’hésitent déjà pas à invoquer
l’urgence à changer de paradigme, à acter un contrat naturel. Les juristes de
Notre Affaire à Tous dressent ici un état des lieux de la question, au moment
où les droits de la Nature s’affirment de plus en plus au sein de la société
civile, et lèvent les doutes que cette perspective pourrait inspirer au regard
des mécanismes offerts par le droit de l’environnement et de la démocratie
environnementale. Car une évidence s’impose : le passage de
l’anthropocentrisme à l’écocentrisme ne pourra se faire en dehors du droit.
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