- EAN13
- 9782845901094
- ISBN
- 978-2-84590-109-4
- Éditeur
- Arfuyen
- Date de publication
- 04/10/2007
- Collection
- CARNETS SPIRITU
- Nombre de pages
- 203
- Dimensions
- 18,7 x 12,5 x 1,8 cm
- Poids
- 210 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 230
- Fiches UNIMARC
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Marcel Weinum Et La Main Noire
Textes de Marcel Weinum, Jean-Jacques Bastian, René Kleinmann, Aimé Martin et Albert Uhlrich
De Gérard Pfister
Préface de Pierre Sudreau, Alfred Grosser, Marie Brassart-Goerg
Arfuyen
Carnets Spiritu
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Septembre 1940 : à l'appel d'un garçon de 16 ans, près de trente jeunes âgés de 14 à 16 ans se rassemblent d'enthousiasme pour une grande entreprise.
Ces trente-là ont un objectif : combattre Hilter et le nazisme. Un chef : Marcel Weinum. Un nom: « la Main Noire ». Une organisation structurée. Ils savent se procurer armes, argent, locaux. Propagande, action psychologique, sabotage n'ont pas de secrets pour eux. Ils sont conscients de risquer leur vie. Le premier d'entre eux, l'orphelin polonais Sieradzki, abattu à bout portant en décembre 1941, et Weinum décapité en avril 1942.
Tous fils d'ouvriers : cheminots, traminots, électriciens... Parmi leurs parents aucun dont l'attitude politique ait pu les influencer. D'ailleurs, pour la quasi totalité, ils ne sont pas même au courant des activités de résistance de leurs petits. Quant à ces enfants, ils sont tous eux-mêmes apprentis : futurs boulangers, mécaniciens, dessinateurs... Parmi eux aucun intellectuel. Et à leurs côtés pas un adulte - professeur ou religieux - pour les inspirer ou les conseiller.
Une « Croisade des enfants » contre Hitler, à Strasbourg, entre septembre 1940 et avril 1942. Et pourtant : oubliée !
Ces trente-là ont un objectif : combattre Hilter et le nazisme. Un chef : Marcel Weinum. Un nom: « la Main Noire ». Une organisation structurée. Ils savent se procurer armes, argent, locaux. Propagande, action psychologique, sabotage n'ont pas de secrets pour eux. Ils sont conscients de risquer leur vie. Le premier d'entre eux, l'orphelin polonais Sieradzki, abattu à bout portant en décembre 1941, et Weinum décapité en avril 1942.
Tous fils d'ouvriers : cheminots, traminots, électriciens... Parmi leurs parents aucun dont l'attitude politique ait pu les influencer. D'ailleurs, pour la quasi totalité, ils ne sont pas même au courant des activités de résistance de leurs petits. Quant à ces enfants, ils sont tous eux-mêmes apprentis : futurs boulangers, mécaniciens, dessinateurs... Parmi eux aucun intellectuel. Et à leurs côtés pas un adulte - professeur ou religieux - pour les inspirer ou les conseiller.
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